Parce
qu’une fois les éoliennes installées, il sera impossible de faire marche
arrière et le promoteur aura beau vous dire qu’il fera de son mieux pour amoindrir
la gêne, celle-ci persistera.
Écoutez
les plaintes de ces riverains du parc éolien d’Ambrault-Vouillon, mis en service
il y a un an :
Pourtant, « dès 21 h, je ne peux plus manger sur
ma terrasse », a expliqué M. Villaudière. « Quand les éoliennes marchent, j’ai constaté
que les grenouilles du plan d’eau ne chantent pas. Les grues dévient leur trajectoire ; ce n’est
pas l’armature qui les gêne, mais les sons », a souligné M. Villemont. « J’habite le bourg et je ne peux ni émettre
ni recevoir d’appels sur mon portable », affirme
M. Moulin. « J’habite Vouillon et ce vrombissement ressemble à un
avion qui passe, en fonction du vent et des orientations » a
signalé un autre participant. « Si, dans
cinq ans, je veux vendre ma maison, je n’aurai aucune demande avec ces quatre
éoliennes au fond de mon jardin », s’est inquiété un
autre un habitant.
La fin de
journée semble être la période la plus sensible, quand les bruits de la
circulation routière, de l’activité agricole ou le chant des oiseaux ne
couvrent plus le niveau sonore des éoliennes.
Lire l’article à ce sujet de la Nouvelle République
ICI
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